Le seul magazine répondant à la fois aux attentes d’apprentissage et d’esthétisme en matière de photographie. Retrouvez chaque mois des actualités, des tests, des concours, un portfolio etc.
Réponses Photo
“Ceci est bien une photo”
Clap de fin pour le “Ciba” • Le labo parisien Cadre en Seine dit adieu au Cibachrome. Ce fameux procédé de tirage couleur pour diapositives n’est plus fabriqué depuis 2013. Les réserves de papier et de chimie se sont taries, condamnant son usage en labo pro. Mais quelques photographes se sont constitués des réserves, leur permettant de continuer leur œuvre.
Un siège pour Françoise Huguier • LA PHOTOGRAPHE VIENT D’ÊTRE ÉLUE À L’ACADÉMIE DES BEAUX-ARTS
PRIX
En bref…
Habiter, être habité.e
EN BREF
20e édition du Festival
Sabine sur France 5
Une résidence bien meublée
Deux festivals tirent leur révérence
LIVRE
440 km C’est la distance
FILM
Vainqueur par IA
Françoise Demulder
APP
10 ANS pour le magazine Fisheye
Le prix Lucas Dolega change de formule
SUR LE NET
2 boîtiers et 2 optiques chez Canon • La marque renouvelle ses boîtiers EOS d’entrée de gamme, avec le R8 en 24×36 et le R50 en APS-C. Chacun se voit accompagné d’un nouveau zoom. On fait le point.
5 objectifs pour le S23
SIGMA 50 MM F/1,4
Une place en orbite avec Sony • La marque japonaise offre au grand public une vue imprenable sur la Terre avec son programme Star Sphere Photo, qui permettra bientôt à tout un chacun de réaliser des prises en contrôlant un hybride 24×36 logé dans un nanosatellite.
DxO PhotoLab
POIGNÉE POUR GAUCHERS
Objectif macro chez OM System • OM Digital Solutions lève le voile sur son nouvel objectif macro stabilisé : le M. Zuiko ED 90 mm f/3,5 Macro IS PRO.
Service Tamron
UN TRÉPIED TRÈS MALIN
ELLIOTT ERWITT Reflets d’une œuvre • Alors que lui est consacrée une grande exposition rétrospective au musée Maillol à Paris à partir du 23 mars, nous avons voulu plonger dans l’œuvre d’Elliott Erwitt, photographe star de l’agence Magnum au langage à la fois universel et singulier. Chefs-d’œuvre ultimes ou clichés moins connus, nous vous proposons une “visite commentée” parmi les tirages exposés pour tenter de comprendre ce qui fait, en définitive, la force de ces images.
Sérieusement drôle • Chroniqueur aussi malicieux qu’irrévérencieux de la comédie humaine, Elliott Erwitt est l’un des derniers photographes majeurs du XXe siècle. Grands événements ou moments intimes, célébrités ou anonymes, il croque les petits et grands aléas de la vie, avec l’humour comme antidote.
Obsédé visuel • Thèmes et motifs reviennent de façon récurrente dans l’œuvre d’Elliott Erwitt sans que l’on s’ennuie une seconde. La vie amène assez de variété pour que les images ne se ressemblent pas. Profondes ou légères, souvent les deux à la fois, elles révèlent quelques obsessions. De celles qui font un regard.
Portraitiste sensible • L’humain est au centre de l’œuvre d’Erwitt, qu’il soit figurant (ou figuré par un animal) dans ses photos de rue ou sujet principal dans des portraits intenses. Posés ou sur le vif, réalisés dans la sphère intime ou lors de reportages sur des anonymes ou des personnalités, ceux-ci portent tous la marque du photographe.
Coloriste à la demande • Tel nombre de ses pairs, Erwitt réserve la couleur aux fins commerciales : reportages pour Life ou Paris Match, pub, tourisme, mode… La frontière entre son œuvre noir et blanc et ses commandes en couleurs est cependant un peu plus complexe qu’il n’y paraît.
Agitateur surréaliste...